[#Management] #Google recrute des profils à la « capacité cognitive générale » et non au QI via @LesEchos
Google recrute des profils à la « capacité cognitive générale » et non au QI
Laszlo Bock, l’ancien DRH de Google, revient dans une interview donnée au New York Times sur un des critères essentiel du recrutement chez Google. Le géant du web sélectionne ses talents avant tout sur leurs capacités cognitives plus que sur leur QI. La conviction, fondée sur des constatations, est que les profils ayant une certaine forme d’humilité intellectuelle sont plus enclin à savoir se remettre en questions et à accepter des avis contradictoire même lorsqu’ils doivent par ailleurs assumer des positions fortes de leadership et de management. Le principe est simple, les profils ayant des parcours académiques importants auront tendance à être trop confiant dans leurs capacités intellectuelles et à moins savoir se remettre en questions par rapport à leurs positions face à la contradiction que quelqu’un qui aura un parcours moins traditionnel et qui aura de fait développé une logique de formation continue et donc peut-être moins confiant dans ses simples capacités lui permettant ainsi d’être plus ouvert d’esprit. Il s’agit là d’une analyse tout à fait intéressante de la part de Laszlo Bock et qu’il serait sûrement tout aussi intéressant de faire étudier à nos DRH français. Pour rappel, lorsque Laszlo Bock était DRH de Google, jusqu’en 2016, l’entreprise a été nominée Best Company to Work plus de 30 fois tout autour du monde et a reçu plus de 100 prix comme au titre du meilleur employeur.
__________________________________
Sponsor du blog
__________________________________
Dans un entretien accordé au New York Times, Laszlo Bock insiste sur la notion d’ « humilité intellectuelle » sans laquelle un individu est « incapable d’apprendre ».
Chez Google, rien n’est laissé au hasard et surtout pas les embauches. Laszlo Bock, responsable du personnel du géant américain de l’Internet, a accordé un entretien à Tom Friedman, journaliste au New York Times , pour lui expliquer comment l’entreprise choisissait ses futurs employés. Et contrairement aux idées reçues, les plus diplômés ne sont pas forcément les plus favorisés. Voici pourquoi.
___________________________________
___________________________________
___________________________________
___________________________________