[#Digital] Retrouvez-moi le 11/12 pour une table ronde Open Banking, Bank as a Platform via @Margo_group

Retrouvez-moi le 11/12 pour une table ronde Open Banking, Bank as a Platform

Le 11 décembre prochain, je serai le modérateur d’une table ronde sur l’Open Banking avec un panel exceptionnel :
Cet événement est organisé suite à la publication du nouveau livre de Svetlana Baranov « Bankless Banking : de nouvelles fondations pour la banque ».

« La banque sans banque » ne fait pas l’hypothèse de la disparition des acteurs bancaires, loin de là. C’est plutôt une tendance amorcée par l’évolution du comportement des clients : les services financiers doivent désormais s’inscrire dans un contexte d’utilisation pour être là au bon endroit, au bon moment, jusqu’à devenir totalement «invisibles », amenant le client à en bénéficier sans se soucier de qui les fournit.

La combinaison de l’insertion des services financiers dans de nouvelles interfaces et de l’utilisation de la donnée amènera ainsi à l’effacement progressif des services financiers, tant l’adaptation à l’usage sera poussée. Le client utilisera alors un service sans s’en rendre compte, car il sera intégré à d’autres, et son exécution sera automatisée : ce sont là les bases de la « finance invisible », et donc de l’idée que l’on peut très bien faire de la banque sans les banques.

Cette hypothèse est celle qui fait craindre aux acteurs traditionnels la concurrence des GAFA. En effet, les entreprises les mieux placées pour maîtriser les points d’accès aux services financiers ne sont pas nécessairement les banques. La concurrence vient d’autres acteurs qui pointent le bout de leur nez, cachés sous les acronymes GAFA, NATU ou BATX.

La « mine d’or » de ces acteurs, c’est une masse importante d’utilisateurs et une fréquence d’interaction élevée, largement supérieurs à ceux des plus grosses banques mondiales. Des centaines de millions de clients utilisent Facebook, Apple, Google, Uber ou Alibaba tous les jours, plusieurs fois par jour, en toute simplicité. Leur présence dans la vie des clients au quotidien les rend incontournables et leur permet de prendre une place clé dans la relation client en créant en quelque sorte un « monopole des usages ». Ce sont certainement eux qui sont appelés à gérer la partie visible des services financiers, en les intégrant à leur écosystème existant.

Que reste-t-il alors aux banques ? Est-il possible de stopper le phénomène de « banque sans banque » ?  La position d’une plateforme ouverte qui propose des services financiers à d’autres est-elle la bonne piste à suivre pour les banques ? Est-ce une piste à la hauteur des ambitions des banques ? Quelles sont les armes pour se battre ?

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Sponsors du blog

Paris&Co
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Les banques sont déjà acquises à la cause de l’open-banking, notamment poussées par la DSP2, mais s’arrêter là, ce serait passer à côté de nombreuses opportunités. La construction de la plateforme ainsi initiée donne en réalité les clés pour construire de nouvelles fondations et répondre au développement du phénomène de « banque sans banque ».

https://goo.gl/ez8vPQ


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Vous pouvez retrouver ce livre blanc en téléchargement gratuit sur l’ensemble des plateformes ci-dessous : logo-slideshare logo-calaméo logo-scribdlogo-youscribe logo-wobook  _____________________________________________________________________________

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Rappel mon article sur Siècle Digital : « Des ICOs pour les sociétés du CAC 40, fausse bonne idée ?« 
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Rappel mon article sur le site Bordeaux Fintech : « ICO, quels risques pour les investisseurs ?« 
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Rappel ma présentation lors de la conférence Technopolice 2018 : « ICO – Innovation risquée ou miroir aux alouettes« 
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