[#Maagement] Cas #Uber, peut-on changer la culture d’une entreprise ? via @Vitolae @MediumFrance
Cas Uber, peut-on changer la culture d’une entreprise ?
Travis Kalanick le patron de Uber est devenu depuis quelques semaines la cible de toutes les critiques pour son comportement sexiste et machistes avec ses employées. Par ailleurs, l’entreprise est accusée depuis de nombreux mois de défauts flagrants de management, tous avec la même cause une culture totalement orthogonale avec la loi et le règlement, en gros c’est open bar. Cette société s’est construite en opposition au système depuis le premier jour, elle n’a d’ailleurs pu réussir que par son positionnement toujours limite par rapport à la règlementation locale des pays où elle s’est installée, il n’y a qu’à voir comment cela s’est passé en France, et ce n’est pas totalement terminé. Cet article revient donc sur les travers de la société la plus sulfureuse au monde, en particulier sur sa culture, et dont le modèle fait trembler tous les géants industriels qui ont tous peur de se voir « uberisés » dans les prochains jours.
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Aujourd’hui valorisée à près de 70 milliards de dollars, Uber est la société non cotée la plus en vue du moment. En à peine sept ans d’existence, elle s’est développée dans 76 pays et a réalisé plus de six milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2016. Le phénomène est tel qu’Uber influence désormais la manière dont nous pensons l’économie. Dans le monde des entrepreneurs, les “pitches” présentant les nouvelles startups comme le “Uber de X” sont presque devenus des clichés. Quant au verbe “ubériser”, il est entré dans le dictionnaire Robert publié en mai 2017, défini comme le fait de “transformer un secteur d’activité avec un modèle économique innovant tirant parti du numérique”.
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